dimanche 27 juillet 2008

Disney Channel Talents reprend la route

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Disney Channel Talents reprend la route à la recherche de sa future star. Exclusivement réservé aux enfants de 8 à 16 ans, ce casting leur offre la chance de réaliser un rêve: enregistrer une chanson de la série Hannah Montana, tourner un clip, vivre une aventure exceptionnelle et, qui sait, rencontrer Sheryfa Luna, la marraine de l'émission. Pour s'inscrire, il suffit d'aller sur DisneyChannel.com ou d'appeler le 0892 68 68 88. Castings prévus dans plusieurs villes de France à partir du 20 septembre.

L'acteur Shia LaBeouf blessé dans un accident, soupçonné d'ivresse

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L'acteur américain Shia LaBeouf, l'un des grands espoirs de Hollywood, a été arrêté sous le soupçon de conduite en état d'ivresse après un accident de la route dans lequel il a été blessé, a-t-on appris dimanche de source policière à Los Angeles.

Le comédien de 22 ans, qui donne la réplique à Harrison Ford dans le dernier "Indiana Jones", a été interpellé dans la nuit de samedi à dimanche à Los Angeles après avoir heurté une autre voiture au volant de son véhicule, selon le bureau du shérif.

LaBeouf, également vu dans le film d'action "Transformers" et le thriller "Paranoïak", a été blessé à la main dans l'accident, lors duquel son véhicule a effectué deux tonneaux. Sa passagère et un occupant de la voiture heurtée ont également été blessés, selon la même source.

L'acteur a été admis à l'hôpital Cedars-Sinaï de Los Angeles et se trouvait en salle d'opération dimanche matin, selon un porte-parole du shérif.

De nombreux jeunes acteurs ou célébrités ont eu maille à partir avec la justice pour conduite en état d'ivresse ces derniers mois à Los Angeles, dont Lindsay Lohan, l'acteur du "Sixième sens" Haley Joel Osment, et l'héritière Paris Hilton, qui a purgé à ce titre plus de trois semaines de prison ferme en 2007.

lundi 21 juillet 2008

Le sein de Janet Jackson ne vaut pas un demi-million de dollars

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En 2004, la chanteuse Janet Jackson exhibe un de ses seins, paré d’un bijou pour téton de sa création pour en faire la promotion, en pleine cérémonie d’ouverture du Super Bowl. Un show regardé par quelque 90 millions de téléspectateurs. L’Amérique bienpensante est choquée et la chanteuse est sommée de s’excuser publiquement. Mais elle n’est pas la seule à subir les foudres après ce fameux «nipplegate». La chaîne CBS, qui diffusait la cérémonie, est poursuivie par l'autorité fédérale de régulation des médias aux Etats-Unis, la Commission fédérale des Communications (FCC), qui lui réclame une amende de 550.000 dollars (346.439 euros).

Décision «arbitraire et capricieuse»

Plus de quatre ans après l'incident, trois juges d'un tribunal fédéral de Philadelphie, en Pennsylvanie (est), ont annulé l'amende, lundi. «La FCC ne peut pas infliger une amende à la chaîne CBS en tant que responsable des agissements de Janet Jackson», a jugé le tribunal. Les juges ont considéré que la décision de la FCC était «arbitraire et capricieuse», concernant une image d'à peine quelques secondes et que la chaîne n'avait évidemment pas pu empêcher.

«Montrer une scène indécente prévue dans un scénario ou un programme enregistré aurait démontré une culpabilité», ont expliqué les juges, en indiquant que cela n'avait pas été le cas sur CBS, dont le programme était diffusé en direct.

samedi 19 juillet 2008

Britney Spears doit verser une mega-pension alimentaire

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20.000 dollars. C’est la pension alimentaire que Britney Spears doit désormais verser à son ex, Kevin Federline, après avoir définitivement perdu le droit de garde de leurs enfants. Soit 15.000 dollars de plus qu’avant le jugement. La chanteuse a le droit en échange à deux visites par semaine dont une soirée. Mais elle n'a pas intérêt à se plaindre si elle veut obtenir une nouvelle visite en soirée d'ici la fin de l'année.

Et si on vous dit qu'en plus, elle a dû régler les 250.000 dollars de frais d'avocat de son ex-mari? Kevin Federline s'est dit «heureux» que tout cele soit fini. Nous aussi à sa place.

Bernard Tapie, l’homme qui valait 285 millions d’euros

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Après 13 ans de bras de fer avec le Crédit Lyonnais, Bernard Tapie a obtenu satisfaction devant la justice qui a condamné vendredi le Consortium de Réalisation (CDR) gérant le passif de la banque à verser réparation à l'ancien homme d'affaires pour le préjudice subi dans le dossier de revente d'Adidas.


Formé de trois personnalités, le tribunal arbitral chargé de solder ce litige, a condamné vendredi le CDR à verser 285 millions d'euros à M. Tapie qui s'estimait floué d'une plus-value conséquente réalisée par la banque lors de la vente d'Adidas en 1993.

Bernard Tapie a confié à l'AFP qu'il était "très heureux", se refusant à tout autre commentaire au nom d'une clause de confidentialité.

"Les arbitres allouent aux liquidateurs du groupe Tapie une indemnité en principal de 240 millions d'euros, au titre du manque à gagner, et une autre indemnité de 45 millions d'euros au titre du préjudice moral", selon un communiqué du CDR.

Le trio arbitral - Pierre Mazeaud, ancien président du Conseil constitutionnel, Jean-Denis Bredin, avocat, et Pierre Estoup, magistrat - a retenu "la responsabilité des banques (SDBO et Clinvest)". La Société de banque occidentale (SDBO) était la filiale du Crédit Lyonnais qui était chargée de vendre Adidas, tandis que Clinvest avait un rôle de conseil sur cette opération.

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vendredi 18 juillet 2008

La vie des riches racontée par les concierges des grands hôtels

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La vie des riches racontée par les concierges des grands hôtels n’est pas forcément un conte de fées. Mais qu’est-ce qu’on s’amuse !

D’eux, ils savent tout. Les cinq sens aux aguets, ils ont le talent divinatoire d’anticiper leurs moindres désirs, leurs ridicules caprices ou leurs folles extravagances. Les grands chefs concierges, ceux qui officient dans les sélects palaces parisiens, connaissent mieux que quiconque cette espèce qu’on appelle communément les riches ! « Etre concierge, c’est devenir important pour des gens qui ont tout , assure Yannick Bastoni, jeune chef concierge de l’hôtel Fouquet’s Barrière. Le client est loin de chez lui . A Paris, il est perdu, il ne sait pas où aller. Nous sommes là pour l’aider. »

Toujours au dernier moment.

Réserver une table, un billet de train ou d’avion, un parcours de golf, un court de tennis, une place d’opéra ou un concert de rock. Très simple, sauf que... les riches s’y prennent systématiquement au dernier moment. « J’ai dû trouver des places pour un opéra chanté par Pavarotti à la Scala à Milan, le matin pour le soir. Puis dénicher un jet privé et réserver dans un restaurant gastronomique pour la sortie du spectacle », raconte Lionel Laurens, chef concierge de l’hôtel Raphaël. Roderick Levejac, chef concierge au George V, se souvient du dernier Roland-Garros : « A 14 heures, un client, installé sur le court central, m’appelle sur mon portable. Il veut voir jouer Roger Federer, qui est sur le Suzanne-Lenglen ! Une demi-heure plus tard, je lui fais livrer les places. Il n’a plus qu’à se lever et aller voir le match ! »

Autre spécificité, les grandes fortunes ont l’art de vouloir, toutes, dîner, au même moment, au même endroit ! « La colle de 2008, c’est le Jules Verne, le restaurant que Ducasse a repris à la tour Eiffel. Il y a 3 500 appels par jour ! C’est un parcours du combattant, les gens se damneraient pour avoir une table », dit Carlos Teles, chef concierge de l’hôtel Bristol. Pour relever le gant, les meilleurs concierges du monde s’appuient sur leurs réseaux. « Un bon concierge connaît le gérant, le directeur de l’établissement, le cuisinier ou le maître d’hôtel de tel restaurant. Il va tout faire pour débloquer une table », assure Yannick Bastoni. C’est la routine.

Les concierges veulent du défi. De l’inédit. « Tout est possible ! dit Frédéric Baucher, chef concierge au très branché hôtel Murano . Si on me dit de mettre un dauphin dans la piscine, je le fais immédiatement. C’est juste une question de prix... » De concierge à concierge, on se raconte les demandes rigolotes et fantaisistes. Et on se souvient des très généreux pourboires qui vont de pair. En vrac et dans le désordre : une calèche, tirée par quatre majestueux chevaux, est arrivée, en plein hiver sur le boulevard du Temple, pour emmener ses passagers visiter Paris d’une manière... différente. En janvier, un Autrichien a eu une violente envie d’offrir à sa fiancée du muguet, qui ne pousse qu’au mois de mai ! Des serres spécialement chauffées pour l’occasion ont fait le miracle. Le tout facturé 300 euros. Dans des palaces, il n’est pas rare de faire installer, dans la chambre d’un accro du jeu, un minicasino avec machines à sous, tables de jeux-poker, black jack-, roulette et vrais croupiers. On a vu aussi des strip-teasers offerts par un client à sa mère pour fêter les 65 ans de celle-ci ! Ou deux wagons entiers d’Eurostar réservés pour une famille de cinq personnes qui ne veut pas être dérangée. Une visite privée de Versailles, la nuit, avec des dizaines d’acteurs en tenue Grand Siècle pour une seule et unique personne. En vingt-quatre heures, on a arrangé une soirée anniversaire dans un château avec tout le folklore médiéval (troubadours et trouvères, chevaliers en cote de mailles, etc.). Un concierge a loué en catastrophe une salle de basket pour une star de cinéma américaine qui voulait marquer quelques paniers en toute tranquillité. Et a acheté 400 kilos de sucre de régime pour un cheikh arabe qui voulait en constituer un stock et le rapporter chez lui.

Autre histoire. « Un bon client m’appelle. Il vient à Paris avec son épouse pour fêter leurs vingt ans de mariage. Il veut un cadeau original ! » dit Carlos Teles. Voici ce qui fut imaginé : l’Américain a fait parvenir au concierge une photo de sa moitié. Celui-ci a fait réaliser un joli portrait de la femme par un peintre parisien. Un soir, après un bon dîner à Saint-Germain-des-Prés, les deux amoureux, se baladant main dans la main, tombent en arrêt devant le portrait de madame, exposé dans la vitrine d’une galerie d’art ! So romantic ...
Fabriquer de l’insolite.

« Les riches sont toujours plus riches , constate un grand concierge. L’argent n’est même pas un sujet de discussion. Ils veulent qu’on les étonne avec de nouvelles idées. Et puis, de retour chez eux, ils veulent épater la galerie. » Alors, les concierges fabriquent de l’insolite. A ces riches, ils proposent de passer chez Guerlain pour inventer « leur » parfum. Elaboré spécialement avec un nez de la grande maison. Idem pour le vin : une journée dans un vignoble privé où, avec des cépages en pipette, on peut assembler « son » vin. Autre activité qui fait fureur, le touriste peint une vue de Paris sur les bords de Seine, tout en dégustant un luxueux pique-nique au bord de l’eau. Ou alors on arrête la production pendant deux heures chez le fameux chocolatier Malitourne. L’amateur enfile son tablier et s’égaille dans la poudre de cacao, avant de ressortir avec ses propres palets d’or ou ses oeufs de Pâques. De l’inoubliable, on vous dit.

Pourtant tout n’est pas toujours facile. Les concierges ont une faille, la sortie en boîte de nuit. « Tout dépend du physionomiste , explique un concierge. Même si on réserve une table et qu’on prévient le patron, on n’est jamais à l’abri d’un videur qui fait du zèle ! Il n’y a rien de pire que de voir notre client viré comme un malpropre... » D’autant qu’il semble que les riches tolèrent mal que la vie oppose une quelconque résistance à leurs désirs. « Un vol complet, un taxi qui n’arrive pas, un bagage perdu, un orage sur Paris, c’est inadmissible, s’agace un concierge, et c’est de notre faute ! » L’échec est interdit.